jeudi 2 juillet 2015

Tunisiens, préparez-vous aux exactions d'EnnahDaesh

Internet est devenu le principal pourvoyeur de radicalité, jouant un rôle central dans l’endoctrinement et le recrutement de futurs jihado-sionistes. Arme à double tranchant, le cyber espace est le lieu privilégié des groupes extrémistes, à leur tête Daesh, pour enrôler et toucher le plus possible d’internautes. Et ce n’est pas chose difficile, vu la multiplicité des forums et réseaux sociaux, constitués de millions de comptes et de profils. Retour sur un phénomène qui ne devrait, en aucun cas, passer inaperçu dans cette Tunisie frappée de plein fouet par le fléau islamo-terroriste.

L’auteur de l’attentat de Sousse, Seifeddine Rezgui, étudiant âgé de 23 ans, se serait « radicalisé via les réseaux sociaux et au sein d’organisations auxquelles il appartenait.  Ce qui lui a permis de développer cette pensée terroriste», affirme le chef du gouvernement Habib Essid, au lendemain de la plus sanglante attaque qu’a connu la Tunisie de son histoire récente.
Selon les derniers éléments de l’enquête, le jeune homme se serait radicalisé en un temps record. Ceux qui le connaissent disent qu’il a commencé petit à petit, à s’isoler et à passer de plus en plus de temps sur son ordinateur, tout en prenant soin de taire ses activités sur le net. Premier point de départ du court parcours d’un terroriste en herbe.
A l’heure où internet est accessible pour tous et où les supports se diversifient, la diffusion de messages, d’enregistrements audio ou vidéo et de photos de propagande se font en quelques secondes, en un clic. Tout peut s’échanger dans cette immensité qu’est la toile. Du simple cours d’endoctrinement religieux, aux directives concernant le maniement d’armes ou les moyens de se rendre dans les camps d’entraînement et les zones de guerre, ou encore la planification d’actes terroristes
Les islamistes ont trouvé la parade contre la presse haram
Les groupes terroristes, à l’instar de Daech, ont su tirer profit de cette manne, et on en fait leur principal moyen de communication. Vecteurs de recrutement par excellence, les réseaux sociaux sont un terrain de chasse propice, et pour attirer cette jeunesse 2.0, les organisations terroristes ont mis au point un système de communication imparable et maîtrisé digne des plus performantes boîtes de com’. En témoignent les multitudes de pages et de comptes « officiels ! », organes de cette macabre propagande.
Rien qu’en Tunisie, avant chaque attaque, les comptes jihado-sionistes se mettent au « teasing ». A coup de Tweets on annonce l’imminente « bonne nouvelle », tout en défiant les forces de l’ordre, qualifiées de « taghout », de tenter de l’empêcher. Aussitôt après l’opération, on revendique, on félicite les auteurs, on publie des photos inédites et des communiqués bien ficelés à la gloire du saint jihad.  Un mécanisme redoutablement rodé, d’autant plus que les médias sont poussés à relayer ces informations, entrant dans le jeu machiavélique des terroristes. C’est le cas de l’attentat de Sousse. Le soir même, les comptes proches ou se réclamant de Daech, ont inondé la toile avec la photo exclusive de Seifeddine Rezgui, fier, souriant face à l’objectif entre ses deux Kalachnikovs.  Une image, qui sans conteste, aura une grande incidence sur les sympathisants et les « followers » de ses comptes, l’érigeant en héros. Ikhlas Latif  Source : http://www.businessnews.com.tn/

Tunisiens : voici de qui vous attend avec l’EI

EI1
Le groupe terroriste Etat islamique (alias Etat Israélite ou EI) a diffusé mardi une nouvelle vidéo montrant l’exécution de 16 otages par de nouvelles méthodes particulièrement horribles.
Dans la vidéo mise en ligne, cinq otages revêtus d’une tenue orange sont enfermés dans une cage d’acier et noyés dans une piscine. L’EI pousse l’horreur en filmant le supplice des otages à l’aide de caméras amphibies.
Quatre autres otages sont enfermés dans une voiture qui est détruite par un tir de lance-roquette.
EI2
Sept autres otages sont décapités par l’explosion d’un câble qui relie leurs têtes, selon la vidéo.
EI3
Depuis son avènement sur la scène internationale en 2013, l’organisation terroriste a fait de la terreur sa principale arme de propagande.

Les djihado-sionistes dressent la liste des sites à attaquer en Tunisie


Les djihado-sionistes tunisiens, alliés au groupe terroriste du faux calife de l'EI (État Israélite) , ont dressé la liste des sites à attaquer dans les mois à venir, rapporte le journal britannique The Independent.
L'édition a étudié les pages des réseaux sociaux et des forums internet en rapport avec les djihadistes de l'EI. Ayant recoupé différentes discussions, The Independent en est venu à établir les cibles éventuelles des terroristes.
Il s'agit entre autres du principal aéroport de Tunis, de l'île de Djerba, très appréciée par les touristes, des magasins d'alcool et des bars. Les djihado-sionistes se proposent aussi de s'en prendre aux services de sécurité tunisiens.
L'attentat qui a eu lieu le 26 juin dernier à Port El-Kantaoui, près de Sousse, est le plus important dans l'histoire du pays. Un étudiant tunisien a alors tué 40 touristes, dont 30 ressortissants du Royaume-Uni. Le tueur a été éliminé. Lors de l’attaque terroriste du 18 mars contre le musée du Bardo, tout près de l’assemblée des représentants du peuple tunisien, plus de 20 touristes étrangers ont été tués. Ces deux attentats ont été revendiqués par le faux État islamique (mais vrai État Israélite). On a appris ensuite que la nébuleuse Al-Qaïda a également été impliquée dans l'attaque contre le musée à Tunis.
Hannibal GENSERIC

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